"Il faut collectionner les pierres qu'on
"Il faut collectionner les pierres qu'on vous jette. C'est le début d'un piédestal." Hector BERLIOZ
"Il faut collectionner les pierres qu'on vous jette. C'est le début d'un piédestal." Hector BERLIOZ
Cette année, les cognassiers sont en pleine forme. Ils donnent beaucoup de coings qui vont permettre de faire de bonnes compotes et de succulentes gelées.
Un peu de culture...
Le coing est le fruit du cognassier. Piriforme et volumineux, il est cotonneux en surface et, à maturité, est jaune et très odorant. Tout comme les nèfles, les coings crus ne se consomment qu'après blettissement. On utilise généralement les fruits mûrs, pour confectionner des gelées, des confitures, des pâtes de fruits ou des gâteaux. Les coins pelés peuvent être également rôtis au four. Enfin, le coing peut être distillé et l'on en obtient ainsi une liqueur. Dans l'Europe de l'Est, le coing est utilisé, presque exclusivement, comme légume, dont on fait une soupe d'hiver.
Le fruit était connu, dans la Grèce antique, en tant que Pomme de Cydon. D'où le nom scientifique du genre Cydonia attribué au cognassier.
"Oeil pour oeil et le monde finira aveugle" GHANDI
"La modestie est le seul éclat qu'il soit permis d'ajouter à la gloire" Charles PINOT-DUCLOS
"Garder ses idéaux, c'est l'essentiel. C'est ce qui permet de survivre à toutes les petites désillusions du quotidien" Houda ROUANE
Quoi de plus doux que de regarder un papillon en plein vol ? Je trouve qu'ils apportent le calme et la sérénité dans un jardin. Les observer permet de faire une pause dans cette vie où tout n'est que vitesse et précipitation.
Chaque printemps, ils reviennent dans nos jardins pour notre plus grand plaisir. Mais, outre leur beauté, les papillons sont aussi des sentinelles de la biodiversité. L'analyse de leur population fournit aux chercheurs de précieuses indications sur l'état de l'environnement. Nous pouvons recenser les papillons de nos jardins. Pour ceci, je vous invite à aller visiter le site de l'Observatoire des papillons.
"Pour attirer les hommes, je porte un parfum qui s'appelle Intérieur de voiture neuve" Rita RUDNER
... enfin, presque.
Hier, grand beau temps sur la région. Idéal pour aller voir comment c'est là-haut. Je prends la voiture et direction l'aérodrome de Chérence pour un vol d'initiation en vol à voile ou, plus communément, en planeur. Depuis le temps que je les voyais passer au-dessus de ma tête et que je me demandais qu'elles étaient les sensations que nous pouvions avoir dans une machine sans moteur...
Le pilote, sympa, me fait une brève présentation du cockpit et me demande de passer le... parachute ! "En 5000 heures de vol, je n'ai jamais eu à m'en servir mais on ne sait jamais". Rassurrant. Explication de la méthode pour s'éjecter de l'appareil et pour ouvrir le parachute (je ne suis pas certain d'avoir tout compris) et me voilà installé à l'avant. En avant toute !
L'avion qui nous emmène vers les cieux, cherche les vents ascendants et nous nous libérons du câble qui nous reliait à lui au bout de 5 minutes à peine.
Que c'est beau la Terre vue du ciel ! Spectacle magnifique sur les boucles de la Seine, sur le château de la Roche-Guyon et son parc, sur le golf de Villarceaux, les forêts et les champs multicolores. Au loin, la Défense, Cergy Pontoise, Dreux... nous faisons un détour pour passer "au-dessus" de mon village et je discerne la maison : amusant.
Mais il faut revenir sur la terre ferme, très ferme ! L'atterrissage n'est pas aussi soft que celui d'un Airbus, croyez-moi ! Une demi-heure de vol, super géniale, pleine de belles images qui resteront gravées dans la tête.
"en attente à côte du planeur"